Ce projet financé par le Fonds français pour l'environnement mondial comporte cinq composantes. Seule la composante quatre concerne le Bénin.
"Le projet mise sur le transfert de technologies et de compétences développées au Mexique par l'Université de Campeche, vers le Costa Rica et le Bénin dans le but de restaurer des sites pilotes de mangroves et dans une perspective de réplicabilité à grande échelle" a renseigné Ebénézer Houndjinou, coordonnateur du projet.
Le Costa Rica et le Bénin sont tous deux des pays tropicaux comprenant de larges étendues de zones humides côtières, dont les mangroves qui constituent des écosystèmes essentiels pour la survie de certaines espèces en servant d’habitats à de nombreux espèces animales et végétales menacées.
La mise en œuvre de ce projet prévue pour durer quatre ans impacte deux communes, Ouidah et Grand-Popo.
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